Critique d'art
La peinture de MARCHINI n'est pas figurative, mais dans un débordement sur fond de liberté extrême. La plupart des mouvements aperçus sont tourbillons, orages déferlement volcanique, faisant surgir du vide un espace provoquant un déchaînement, une irruption d'accords qui se croisent, se répercutent sans se figer dans la facilité.
Je peins donc je suis, pourrait être le langage de ce peintre plus spontané et direct, une transmutation du vrai ,un mouvement dans le temps qui emprisonnerait la lumière, pour faire passer l'émotion, une magie qui n'a pas besoin d'explication.
A l'évidence la peinture de Pierre-Paul Marchini hésite entre deux mondes, entre un matérialisme sécuritaire et une démarche informelle, sorte de révélateur qui fait intervenir le subconscient, jouant avec les formes et les couleurs pour construire un rêve.
Cette démarche procure une écriture particulière qui suggère au lieu d'imposer. Pierre-Paul Marchini nous convie à nous évader loin des turpitudes ambiantes de notre société, mais invite à voyager selon notre fantaisie.
Pierrick Her
Président de Mondial Art Academia
Je peins donc je suis, pourrait être le langage de ce peintre plus spontané et direct, une transmutation du vrai ,un mouvement dans le temps qui emprisonnerait la lumière, pour faire passer l'émotion, une magie qui n'a pas besoin d'explication.
A l'évidence la peinture de Pierre-Paul Marchini hésite entre deux mondes, entre un matérialisme sécuritaire et une démarche informelle, sorte de révélateur qui fait intervenir le subconscient, jouant avec les formes et les couleurs pour construire un rêve.
Cette démarche procure une écriture particulière qui suggère au lieu d'imposer. Pierre-Paul Marchini nous convie à nous évader loin des turpitudes ambiantes de notre société, mais invite à voyager selon notre fantaisie.
Pierrick Her
Président de Mondial Art Academia
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