Paroles d'artiste sur le travail de Pierre-Paul MARCHINI
L'œil ne griffe, plus rien. C'est la principale qui rêve. À la pointe noire d'révélation juin. Dans L'effilé du chaudron, les pigments fixent les Calmes et les tourments du ciel et de la terre. Se faire l'oiseau de sa Propre Vie et Témoigner de fils ciel. Un Travail remarquable.
Martine Moreau | 23 mars 2014
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